Pense bête

C'est plutôt un pense bête que je vous propose.
En règle général, lorsqu'on veut écrire quelque choses, on a tellement d'idées que ça nous pourris la vie et que bien entendu on ne sait plus où donné de la tête. Donc la princesse devient magicienne avec un amoureux elfe qui deviens un crocodile géant... Enfin bref, le genre de truc qu'on oserait même pas lire même sous la torture.

Le plus simple, c'est de se créer un plan et de s'y tenir.
Vous êtes sûrement en train de l'étudier en cours, ou vous allez sûrement le faire prochainement. Donc je vous le rappel juste.
Le schéma narratif.

Situation initiale: elle est toujours écrite a l'imparfait qui présente les éléments nécessaires à la mise en route du récit et à la compréhension de celui-ci, les verbes y sont souvent à l'imparfait.
Élément déclencheur: dit aussi élément perturbateur qui modifie la situation initiale, cet évènement est souvent raconté au passé simple et est introduit par un connecteur temporel.
Péripéties: (toutes les actions)elles sont écrites au passé simple qui sont les évènements provoqués par l’élément modificateur et qui entrainent la ou les actions entreprises par les héros pour atteindre son (leur) but.
Élément de résolution :(dénouement) qui met un terme aux actions et conduit à la situation finale.
Situation finale: qui est le résultat, la fin du récit.

Exemple: Dans un récit policier, il est constitué des éléments suivants :
crime
enquête
indices
suspects
coupable
traque du coupable
arrestation
peine


De plus, certaines informations supplémentaires peuvent être données en réalisant un schéma narratif de type II, plus simple, dans lequel on reprend les principaux personnages ou forces agissantes, ainsi que les piliers qui permettront la rédaction du récit:

Le destinateur: C'est lui qui va pousser le héro (ou destinataire) à entreprendre les péripéties du récit, souvent en introduisant l'élément déclencheur.
Le destinataire, ou héro: C'est ce personnage qui, suite à l'intervention du destinateur, va faire avancer le récit, par ses actions, qui toutes tendent à obtenir ou à atteindre l'objet.
L'objet, ou but: C'est l'objectif final à atteindre, marquant le passage des péripéties à la situation finale. Il peut également être ce qui permet de passer de la première situation sus-citée à la seconde. Il est donc soit de nature matérielle (objet par exemple permettant de vaincre un ennemi) ou de nature narrative (par exemple, victoire sur l'ennemi).
Les adjuvants: Ce sont ceux (ou ce qui) aide le destinataire à atteindre l'objet, par de grandes ou petites actions. Il peut s'agir de personnages, d'animaux ou d'objets.
Les oppposants: A l'inverse des adjuvants, ils s'oppose à la quête du héro; mais comme eux, ils peuvent être animés ou pas.

Notons que ce type de schéma peut se représenté plusieurs fois dans un même récit. Alors que le premier schéma narratif proposé est un plan général d'un récit, le second schéma est plus détaillé, et souvent passager. Ainsi peut-on trouver une succession de schémas de type deux dans les péripéties, ou même dans les éléments décleucheur ou de résolution.

Concrètement... prenons pour exemple la septualogie plus que largement lue de J. K. Rowling: Harry Potter. Alors que le schéma I englobe les sept livres (avec, bien sur, en élément de résolution, la mort de Lord Voldemort), on peut retrouver, dans chaque volume, un schéma narratif secondaire de type I, lui même entrecoupé de schéma de type II.



merci à Wikipedia

C'est pas bête. Mais bon, dans mon histoire, { alley racontage de life "Open "mdr } L'élément déclencheur commence cache mdr ^^

Jme croirais en cour de français de 6éme là xD
Mais bref, c'est pratique ^^

.HAPPY-ENDiNG. a écrit:

C'est vrai que c'est pas bête XD & Utile
Mais bon, c'est vrai que c'est un peu "académique" tout ça =)
Moii quand j'écrit un truc (Que ce soit pour les cours ou non)
Tout viens comme ça, je me dit pas tiens, il faut [ . . . ]
Merci ^^

+1 ! Certe ce post est utile mais il est évident que ce n'est qu'une aide, qu'un exemple. Ce ne sont biensûr pas des règles strictes !

Biien évidemment, mais il est beaucoup plus simple d'avoir un plan et tout surtout quand on arrive dans des classes, où les paragraphes argumentés c'est un peu jeté >.< Disert' en Force --" C'est très bien et utile Kheira Mais bon il es sure que quand j'écris, c'est du genre quand l'idée me vient, mais généralement l'Histoire se tient, c'est du côté lanue que j'ai plus de problème ^^

Comme vous le dites si bien, il ne s'agit que d'une aide.^^
Beaucoup d'écrivains n'ont jamais utilisés un plan de leur vie lol.^^
Mais bon, quand il y a panne ça sert quand même pas mal. Et puis, je ne sais aps si vous avez remarquer, lorsque vous écrivez (je parle d'un très long texte.) dans votre tête vous savez ce que vous comptez écrire ou presque... Comme un plan.

Ben ça dépend. Beaucoup utilise un plan pour se retrouver dans leurs idées, mais on ne s'y fit jamais à la lettre. Au cours de l'écriture si on se rend compte que ci vaut mieux que ça, ben on change. c'est juste un pense bête pour se rappeler les idées essentielles de ce que l'on veut aborder.
Pour ma part je n'utilise un plan que si je suis sure de ce que je veux écrire, du sujet que je veux aborder, ça aide. Et pusi si mon plan m'énerve je passe outre et fais comme je sens.^^

Et comem ma prof disait si bien: quand ça bloque fauts 'obstiner à écrire pour dépasser ce qui nous dépasse.
Et elle disait aussi: le manque d'inspiration n'existe pas, c'est le manque de motivation qui neutralise notre plume.^^ (motivation ou manque de confiance?)