.GUN-TOXiiC*
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Date d'inscription : 10/02/2008
Localisation : DERRiiERE TOii, POURQUOii ? (A)
 | Sujet: QUELQUES ECRiiiTS DEBiiiLES ET DESESPERES ...  Lun 11 Fév - 22:11 | |
| LES MiiiENS QUii SONT COMME DANS LE TiiiTRE DU SUSU'
L'amitié, est un grand mot. L'amitié est un lien qui nous unit tous dans les moments durs. Les amis, c'est tout d'abord des personnes sur lesquelles ont peut compter à n'importe quels moments. On s'aime tout en se détestant. A ce moment même je pense à vous, à nous, à nos moments. L'amitié, c'est aussi des trahisons, des disputes, des guerres. Mais tout on fond de nous on sais qu'un jour, chacun s'envolera de son côté, en laissant des yeux larmoyants, pleins de tristesse et de déception. L'amitié, c'est aussi apprendre à se connaître, sans se juger ni se jalouser. L'amitié entre plusieurs personnes n'est pas un vrai histoire, car sinon, elle aurait une F I N ...
Vous savez, cette chose étrange que l'on ressent ... Ces mots doux que nous n'arrivons pas à dire, car nous pensons avoir trop d'orgueil pour ça. Vous savez, l'envie d'entendre son souffle chaud et régulier à longueur de journée, comme si c'était un besoin vital. L'envie de crier au monde entier que vous êtes amoureuse. Ses regards entrecroisés durant les heures de cours, à vous demandez si ils sont pour vous, ou une autre. Et un beau jour, il se trouve que cet amour, que vous pensiez à sens unique, se révèle être réciproque. Et là, vous avez envie de dire « Je t'aime », mais vous n'osez pas, car personne ne le fait. Vous dites un simple oui, signification d'une réponse banale, sans intensité, sans vie. Ces deux mots de sont pas pourtant bien difficiles à prononcer, mais, si vous n'y arrivez pas, c'est qu'un beau jour, vous vous rendrez compte que cet amour ne l'était pas. Vous vous réveillerez, sans aucune envie d'entendre son souffle chaud régulier, ni de croiser son regard intense. L'amour avec un grand A n'existe pas, car toute histoire à une fin ...
LA MORT DES AUTRES
Bien sûr, dans la vie, on rencontre la mort : nous perdons des êtres chers, nous voyons de sgens mourir autour de nous. Même la mort d'un animal peut être très douloureuse. Mais aucun hommes n'a encore jamais fait l'expérience de redevenir vivant après avoir été mort pour pouvoir nous raconter << Comment c'est >>. Nous ne pouvons donc pas dire que nous savons ce qu'est la mort.
LA MORT N'EST QU'UNE ETAPE DE LA VIE, CAR TOUT MEURT
On ne devrait pas être surpris de devoir mourir. Tous les jours, nous pouvons constater que le temps passe, que les choses ne cessent d'apparaître et de disparaître, que la mort est la loi de la nature. Cela vaut pour les objets et le monde physique. C'est encore plus vrai de la vie : << La vie, c'est la mort >>.
DES ECRiiiTS SUPERBES, MAiiiS PAS DE MOiiii ><
Open your eyes...
Je n'ai pas pêté un cable pour ce qu'il croit, il pense que c'est juste parcequ'il ma insulté, mais c'est différent, c'est plutôt parceque je me suis rendue (enfin) qu'il ne m'aimait pas (même un tout petit peu) et qu'il ne m'aimerais sans doute jamais. J'ai pris un faux pretexte pour m'éloigné de lui, mais je ne peux pas lui en vouloir... C'est plus fort que moi, je ne peux pas m'en empêcher... "Il ne te mérite pas! [...] Tu trouveras quelqu'un de mieux"... Et si je ne voulais pas, moi, tourner la page et oublier, si je voulais continuer à l'aimer...? C'est une si mauvaise idée qu'elle en est risible... C'est trop douloureux tout ça... Et pourquoi maintenant? J'ai finis le livre? A toujours tourner la page? Pour passer à un autre, pour me consoler de l'ancien, me faire des films puis, pour finir, souffrir parceque j'en suis réellement tombé amoureuse? Et puis recommencer, encore et encore? Cercle vicieux, je me suis fais avoir tant de fois, je n'ai pas assez pleuré ont dirait... Je suis préparé pour l'avenir alors? Et pourquoi pas? Le "pourquoi pas" je connais la réponse, je vais faire de mon mieux, je vais prendre les meilleures résolutions de la terre et puis finalement ne les tenir qu'une semaine, qu'une nuit... Je suis grande maintenant, je fais le "bébé" pour ne pas y penser, j'ai grandis trop vite, je n'ai pas assez profité de mon enfance, pourquoi il faut que je fiche toujours tout en l'air. M'envoler, disparaître, 10 pieds sous terre, dans une boîte, avec des beaux vêtement, la peau blanche et des ver de terre pour me tenir compagnie... Brûler les étapes, et déjà être cendre, m'envoler, pas de renaissance contrairement à d'autre, du vent, des odeurs, des voyages, être à plusieurs endroits à la fois. Vivre enfermée? C'est pas pour moi! Quand je serais grande je veux être la rosée du matin sur les pétales des roses, je veux être un flocon de neige attrapé par un enfant qui le regarde, émerveillé, je veux être une goutte de pluie qui coule le long de ton visage, je veux être une bourrasque de vent qui décoiffe tes cheveux, je veux un rayon de soleil qui éblouis tes yeux, je veux être un nuage qui parcoure le monde... Je veux tout être sauf moi. Je veux le sentiment de bohneur qui arrive en toi quand tu vois la personne que tu aimes, je veux être tes larmes quand tu es malheureux, je veux ton sourire et tes lèvres rien que pour moi. Je veux ton regard et tes yeux joyeux, je veux être tes peines pour mieux te connaître, je veux être tes joies... Je veux être un petit bout de toi, je veux être un petit bout de tout le monde, mais le puzzle reconstituer ne donne rien de bon, alors pourquoi pas perdre les pièces, les cacher, les laisser dans des endroits saugrenus? Ne jamais le reconstituer, car le tout est une catastrophe, 5.5, 36... Tout! Alors, comme d'habitude, on fermera las yeux sur ce qui ne va pas...
Close your eyes...
Les Meilleures Vacances De Ma Vie. J'y Avais Cru. La-Bas, Tout Semblait Si Simple. Ils Etaient La, Espagnols, Parlant, Parfaitement Le Francais , Charmants, Drôles Et Amusants. Il Etait La, Brun, Aux Yeux Marrons Chocolat. Il Avait Un De Ces Sourires, Qui Vous Fait Fondre, Comme Neige Au Soleil. Il Etait Si Gentil, Si Attentioné. Quand Je le Voyait, Plonger Dans La Méditerranée Au Coucher De Soleil, C'était Comme Si On Me Narguait Comme On Nargue Son Chat, Avant De Lui Donner Sa Patée, Ou Bien Comme On Nargue Un Bébé, Avant De Lui Donner Ses Carottes, Ou Encore Comme On Nargue Une Gourmande Comme Moi, Avec Un Fondu Au Chocolat. C'était Si Bon, De Le Voir Sourire, Rire, Avec Ses Amis , Plus Géniaux Les Uns Que Les Autres. Ils Etaient Tous Si Parfaits, Mais C'était Lui, Et Personne D'autre . C'était Physique, Ca Ne S'Explique Pas. Je Crois Même Que Je Ne Mettrais Jamais Le Mot Sur Un Terme Exact Pour Le Définir, Dans Ses Gestes, Ses Paroles. Tellement Il Y En Avait Sans Doutes ! Les Jours Passaient, On Se Liait D'amitié, Comme N'Importe Qui Le Ferais Avec Eux, Avec Lui. Mais Pour Moi, C'était Lui, Mais Je Ne M'en Rendais Pas Bien Compte. C'était Si Bien, Que J'en Avais La Chair De Poule. On Se Baignaient Tous Ensemble, On Courrait Tous Ensemble, On Passait Nos Soirées, Toutes Sans Exceptions, Tous Ensemble. Mais Que Voulez-Vous, C'était Lui Qui Me Faisait Exploser De Rire, ou Qui Me Prenait Dans Ses Bras Quand Je N'Allais Pas A Merveilles. Et Mon Coeur Battait Pour Lui, A La Chamade. Et Une Fois, De Plus, Je Passais A Côté De Ca.
Puis Les Jours Continuaient De Défiler A Une Allure Impossible. Lui Qui Etait Si Joyeux, D'Ordinaire, Devenait Faible Et Las, Triste Et Plus Aussi Souriant. Et C'est La que J'ai Appris, Cette Nouvelle... Ce Garçon, Que J'affectionnait Vraiment, Passait Le Dernier Eté De Sa Vie. Il Etait Atteind D'une Maladie, La Leucémie. Ses Jours Etaient Comptés Parmis Nous. Imaginez, Vous Vivez La Même Chose Que Moi Et Vous Apprenez Ca, Vous Ne Savez Pas Si Le Soir, Avant D'Aller Vous Coucher, C'est Le Dernière Fois Que Vous Entendez Son Souffle, Si Régulier, Que Vous Voyez Ce Sourire, Avant Un Sourire Identique A Celui De La Pub " SIGNAL BLANCHEUR " , Des Yeux Si Enserscelants, Que Vous Pourrez Vous Pourrez Y Plonger, Et Même Vous Y Noyer, Que C'est Peu Être La Derniere Fois Que Vous Lui Dites " Au Revoir ". J'en Ai Une Boule A La Gorge.
Et Ce Matin, Un Lundi, Je Vais Le Reveiller, Comme D'Habitude. Il Ne Se Reveille Pas, Je Croyais Qu'Il Le Fait Exprès, Puis Je Trouve Une Lettre, A Côté De Lui, Un Stylo Et Une Lettre, Qui M'Ai Adressée *. Je Commence A Lire, Dans ma Tête, D'Abord, Puis Le Volume Augmente, Ma Voix Commence a Trembler, Les Doigts Se Paralysent, Quand Je Me Rend compte, que Hier, C'était La Derniere Fois Que Je L'entendait, Qu'il Me Prennait Dans Ses Bras, Plus Fort Que D'Ordinaire. Il Le Savait , Il Le Cachait. Il N'Etait Plus La, Il Ne Le Serait Plus Jamais. Je Cri, Je Pleure, Je suis Chamboulée, Je Ne M'en Remet Pas.
Puis Trois Jours Plus Tard, A Rester A Son Chevet, Je Lui Dit Un Dernier " Au revoir ". Je L'entend, Dans Ma Tête, Me Dire " A Bientôt ".
Mais , Les Vacances Continuent, Elles Me paraissent Tres Longues, Trop Longues, Sans Lui. C'est Affreux, Ce Manque. Puis Je Me Dit : " Aller, Ma Vieille, Tourne La Page, Il N'est Plus La , Met Toi Ca En Tête " Car Je Me Refuse Toujours a Croire Qu'Il Est Mort, Et Ce Mot M'Eccorche La Bouche, D'ailleurs. Je Prefere Dire " Il Reviendra, il N'est plus La ".
J'essaye Vraiment De Tourner La Page, Je Sors Avec Son Meilleur Ami. C'est Dur. Très Dur. Et , Ces Vacances S'achevent Enfin , Je N'ai Toujours Pas Tourné La Page, Malgrès " Mon Copain " ( Faites bien Les Guillemets Avec Vos Doigts ). Bref, Je Dis Au revoir, A La Mère Du Garcon Décédé. Et La, Je Me rend Compte Que C'était Bien Son Fils Que J'aimais et Que J'aime. Je Lui Dit Quelques Mots : " Je Suis Désolé, D'être Sortie Avec Alex ( Le Meilleur ami Du " Mort " ) " Et Celle - Ci Me Répond " Je Sais, Mais ne T'en veux pas, il ne t'en veut pas, Lui "
* Si Tu Trouves Cette Lettre, C'est Que Je Ne Suis Plus Avec Vous, Avec Toi. S'il Te Plait Ne Pleure Pas, Ne Me Pleure Pas. Je Sais Que Ca Peut Etre Dur, Mais Il Le Faut. Je Te Promets Qu'On Se Retrouvera. Je t'Aime. | |
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